Témoignages de patients

Visionnez des témoignages filmées de nos patients ainsi que leurs témoignages par écrit.

 


 Le 16/12/2009 – Monsieur P. Vanautryve – 76 ans

« Je suis arrivé le dimanche soir, début octobre. Un mois auparavant, suite à une prise de sang et un prélèvement, Docteur Naudin m’annonce « une prostatectomie ». Il me dit également que celle-ci peut-être effectuée par Robot, et je l’accepte. J’ai déjà été opéré 2 fois, mais cette fois-ci, par un robot, j’avoue que j’avais un peu d’appréhension. » Tout ceci, Monsieur Vanautryve, gaillard au cheveux gris et le sourire aux lèvres, nous le narre volontier.

Le lundi, donc, opération dés le matin. « Que des avantages au robot, puisque je n’ai pas de plaies, et en plus dès le jeudi, j’étais sorti ». Il précise également ensuite qu’aucun soin n’était nécessaire à la sortie, que 8 jours après l’intervention, les agrafes étaient ôtées.

Depuis, Monsieur Vanautryve parle souvent autour de lui du Robot. Il a même recommandé à un ami ayant des problèmes similaires de rencontrer le Docteur Naudin pour être opéré par le Robot. Et voir sa bonne santé transparaître fait un bien fou, croyez-nous.


 Le 12/01/2010 – Monsieur Charles B. – 67 ans

« J’avais un PSA très élevé depuis quelques années. En 2007, après un examen global et un PSA supérieur à 3.5, j’ai donc décidé de rencontrer le Docteur Naudin ». S’en suit 12 prélèvements et 7 sont positifs. La prostatectomie radicale est décidée.

« Je demande à ce que se soit fin mai 2008 au plus tôt, après le Doudou ». Ce sera donc le 31 mai 2008. Avec mon épouse, nous avions vu un reportage sur le Robot Da Vinci sur télé MB, mais le Docteur Naudin ne m’en a pas parlé de suite. Pourtant, deux jours avant l’intervention, il m’a expliqué que j’étais en bonne santé et que je pouvais être opéré par le Robot, sans aucun risque.

L’opération a été longue, très longue même, m’a dit ma femme….mais je ne me souviens dans mon inconscient que de quelques applaudissements…j’étais la 2ème personne opérée par le robot.

Depuis, un drain pendant 3 mois, des prises de sang et une rencontre avec le Docteur Naudin tous les 6 mois et je me porte à merveille : marche, pingpong, jardinage agrémentes mon quotidien. Pas de grande cicatrice, juste quelques points. « je l’ai déjà recommandé à des amis qui rencontrent les mêmes difficultés ».


 Le 03/03/2010 – Monsieur A. DURAY – 62 ans – Par e-mail

De février 2008 à novembre 2008, lors de deux contrôles successifs chez le Docteur NAUDIN pour adénome prostatique répertorié, mon PSA était passé de 3.2 à 3.9. Etait-ce affolant en soi ?

N’a-t-on pas pour habitude de prendre le seuil absolu d’un PSA de 4.5 comme élément de suspicion ?

Intrigué par l’accroissement relatif de 25% de mon PSA en six mois de temps et vu mes antécédents paternels en matière de cancer de la prostate, le Dr NAUDIN me propose la réalisation d’une biopsie (16 prélèvements) à titre de dépistage. Après quelques jours d’attente – et à mon grand désespoir – il s’avère que deux ou trois carottages présentent des traces cancéreuses d’un millimètre. L’attitude thérapeutique proposée par le Docteur NAUDIN – vu la localisation des cellules cancéreuses et mon âge de 61 ans – est la prostatectomie radicale par robot.

Six semaines plus tard – le temps de la cicatrisation des différents prélèvements – je me retrouve donc en salle d’opération dans les bras du robot DA VINCI. Opéré un mardi de janvier 2009 (pas d’infection, pas de fièvre et debout dès le lendemain), je rentrais chez moi le vendredi suivant (4 jours d’hospitalisation) avec une sonde urinaire à garder pendant 10 jours. Pour l’essentiel, je n’ai pratiquement jamais eu de véritable fuite urinaire et, par souci d’efficacité, je me suis soumis aux soixante séances de rééducation pelvienne avec sonde anale chez le kinésithérapeute. A l’heure d’aujourd’hui, mon PSA reste invariablement à zéro et je ne peux qu’espérer qu’il en soit toujours ainsi.

Sous narcose pendant l’intervention, je dirai avec humour que je n’ai pas eu l’occasion de dialoguer avec DA VINCI et de faire sa connaissance. Quoiqu’il en soit, je lui suis reconnaissant de m’avoir investi à différents petits endroits par célioscopie et de ne m’avoir laissé qu’une seule cicatrice de 5 à 6 points au-dessus du nombril. Globalement, tout s’est très bien passé et huit semaines plus tard je recommençais mes randonnées pédestres.

Avec le recul d’un an, et pour peu que je me souvienne des longues et nombreuses hospitalisations de mon père pour « interventions chirurgicales à la prostate », je ne peux que rester en admiration face à cette technologie nouvelle de DA VINCI qui est très précise et peu dévastatrice. Ai-je d’ailleurs jamais réalisé toute l’importance de cette intervention chirurgicale dès l’instant où elle correspondit à une hospitalisation relativement éphémère ?

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Docteur Michel Naudin

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